lundi 13 avril 2009

Isolation pour les grands froids de Vendée

Voilà, çà commence à prendre corps. Ici un croquis de la maison dans son environnement tel qu'il est. Là, la vue de derrière (salon et coin repas / cuisine). Après mon rendez-vous chez le charpentier, je suis reparti avec des tonnes de choses encore à faire pour documenter de manière plus précise le cahier des charges : . Charge du toit végétal ? . Coefficient thermique de la laine de mouton ? . Coût du mètre cube de liège en vrac ? . Quelle isolation dans les cloisons internes ? . Quel type de plancher ? Du chêne ? Du châtaignier ? Du résineux ? . Faisabilité douche ? Bref, de quoi occuper quelques soirées encore. Pour les matériaux, je vais dans la mesure du possible les prendre le plus naturel (bio) possible. Pour le toit, ce sera de la laine de mouton par exemple. Je vais m'orienter vers une laine 100%, avec un procédé de conditionnement "aiguilleté" (cousu en quelque sorte); plutôt qu'un conditionnement avec un collage polyester (80% laine / 20% colle). Afin d'augmenter l'isolation phonique qui n'est pas terrible dit-on avec ce type de cloison (je parle des cloisons internes de la maison qui forment les séparations entre pièces), je vais intégrer 4cm de feutre (laine de mouton) en sandwich entre les planches externes. Pour le plancher, afin de l'isoler du sol, du fait que nous soyons sur pilotis (très bonne aération de la maison, mais très faible inertie thermique), je vais mettre du liège en vrac. J'ai trouvé beaucoup d'idées, sur ce site très bien fait. Il est fait mention des matériaux, mais aussi d'un exemple de réalisation de maion bio-climatique : http://www.eco-logis.com/accueil.htm Pour le budget, des sites comme celui-ci sont très pratique pour faire son marché, mais ensuite en avant la calculette !

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